-
Bonjour, moi c'est Inès Millian, et j'emmènage à Hidden Springs. On m'a envoyé ici tout de suite après être sortie du pensionnat en me disant que j'avais hérité d'une petite maison. J'étais toute enjouée de démarrer ma nouvelle vie avec déjà une maison. Mais quand je suis arrivée, il y avait juste un grand terrain et un cube tout petit au milieu de celui-ci, avec le stricte nécessaire. Pas de télé ni rien. Oh si, un ordinateur mais c'est parce-que mon rêve ultime est de devenir une auteure reconnue, ainsi que de trouvé l'amour car je suis d'un naturel plus que romantique. Premier repas dans cette "maison". Rien n'est facile ici, je ne connais personne. Tant bien que mal, j'ai finis par trouver du boulot. Je vais être journaliste en attendant de pouvoir sortir mon premier livre.
Quoi ? Ah je n'écris pas la. Non c'est vrai je m'amuse en ligne. La classe d'avoir un petit ordi.
Je goûte enfin les gaufres que je me suis faite tout à l'heure. Il ne faudrait pas que je grossisse si je veux plaire à un homme. Quoi ? Fonder une famille peut servir il paraît. Enfin d'après la lettre que j'ai reçue en entrant la maison.
Ma tante, je ne l'ai jamais vue. Et comme elle le dit si bien, elle n'a jamais voulue de moi. J'avais deux ans quand mes parents sont morts, je n'ai rien retenu d'eux, juste le prénom de ma mère. Ma tante m'a effectivement mise en pensionnat dès que le juge as ordonné que ça serait elle ma tutrice. Je ne rentrait jamais chez elle pour les vacances, soit je restais au pensionnat, soit j'allais chez des amies. Maintenant elle me dit que mon père m'a légué une terrain vide et que malgré sa richesse, ma tante n'a fait construire qu'une petite bicoque de merde. La radinerie ne l'étouffe pas.
En attendant de comprendre quelque chose à ma vie, je décide de commencer par écrire un roman. 1948, l'année de ma naissance....Mais non je blague, c'est trop vieux pour moi.
Non, non, non, je ne suis pas en manque d'inspiration.
Quoi ? Oh oui je sais de quoi ça à l'air mais je m'en fout. Faut bien que je fasse mes besoins moi.
Une petite douche pour me requinqué. Je vais aller visiter le voisinage tout à l'heure. Quoi ? Ah oui j'ai mon maillot de bain.
Un bon repas et hop direction les sorties.
Bon ça m'a l'air bon tout ça.
Après mon repas bien garni (ou pas). J'ai été voir un de mes proches voisins. Pas charmant mais peut-être que pour me faire une fille si.
Et comme vous pouvez le voir, pleins de cœurs mais ce pervers est marié et père de famille.
J'ai oublié de payer ma première facture je crois, alors le huissier a débarqué pendant mon absence (je gagnais ma croûte à ce moment) et a pris ma chaise de bureau, grrrr. J'en rachèterais une.
Je suis passée au magasin et j'ai racheté la chaise. Non mais, on ne me pique pas mes meubles comme ça. Je me remets à l'écriture de mon roman, je veux gagner plein de sous. Et faire envier ma riche de tante.
Le soir venu, je sors de nouveau et qui je rencontre ? Un flic, assez mignon. J'en profite pour le salué, et la plein de coeurs partout. Mais monsieur est en couple, mais sans enfant alors je vais quand même tenté ma chance.
Quand je regarde le couple derrière, je me dis que mon flic et moi on pourrait faire un beau couple et peut-être que plus tard on s'enlacera comme ça. Ok je m'emballe.
Le lendemain, au réveil, je ne pense qu'à lui. Qu'à ses cheveux blonds, à sa bouche. Je crois que c'est un coup de foudre. Alors je prends mon téléphone.
3 commentaires -
C'est comme une fleur qu'il as débarqué pour me parlé. Lui aussi aurait-il eu un coup de foudre ?
C'est alors qu'il me regarde dans les yeux et qu'il me dit qu'il a quitté sa Carly, sa copine quoi. Et je comprends qu'il as eu un coup de foudre pour moi.
Tombé amoureuse aussi vite m'était peu probable mais le voilà en face de moi, et je crois bien l'aimer d'un amour fou. Aller vite ? Ce n'est pas dans ma nature.
C'est comme ça que je lui saute dans les bras. J'aimerais qu'il comprenne que je veux tout avec lui, absolument tout.
Non là il ne me repousse pas, c'est juste une photo pour faire rire.
Il se laisse aller à mes doux baisers, je commence alors par ses joues.
Joue que j'ai eu envie de caresser juste après.
C'est alors que je l'embrasse, timidement mais simplement. Il est à moi maintenant, mon Sebastian. Oui il s'appelle ainsi.
Je ne peux plus le lâcher. J'ai trop peur que sa Carly vienne le chercher, où que ça n'était qu'un rêve.
Une fois dans la maison, je me lance. Je suis peut-être rapide mais il paraît que j'ai un héritage à assurer alors je lui demande sa main. Il portera mon nom mais tant pis, je l'aime.
Ce que je vois sur son visage, c'est de l'étonnement, et peut-être de la joie. J'espère de la joie.
Sans se posé des questions. Sans me fuir, il accepte ma demande en mariage. C'est lui l'homme de ma vie.
Il semblerait qu'il ait déjà oublié cette Carly. Mais dans un chuchotement, il m'a dit qu'elle m'en voulais. Comment vais-je réussir à vivre ? Est-elle folle cette Carly ?
Je lui demande alors de l'oublier car aujourd'hui nous construisons une vie à deux. Sur ces paroles je l'embrasse tendrement.
Puis nous passons sur le lit. Nous sommes rapide en tout mais j'ai hâte de connaître son odeur.
Ni une, ni deux, il se rapproche de moi et me regarde droit dans les yeux.
Nous fêtons ça dans le lit, comme il se doit.
A la sortie du lit, une idée folle me viens à l'esprit.
Mon Sebastian & Moi, nous nous sommes unis intimement aussi vite que notre relation a été.
Et c'est ainsi qu'on s'embrasse, pour célébrer notre mariage et notre nouvelle vie.
2 commentaires -
Et voilà, avec l'arrivée de mon Sebastian, j'ai fais quelques petits travaux. Rien de gros, on souhaite garder des sous sur le compte pour plus tard.
Pour l'heure, je laisse mon mari, oui mon mari chez nous. Je vais aller faire des rencontres dans le centre ville.
Je rencontre un petit roux dans le centre, ne me demandez pas son nom, je ne lui ai pas demandé.
Des petits cœurs ? Non, non, non. J'ai déjà trouvé l'homme de ma vie.
J'essaie tant bien que mal d'expliquer au petit roux que nous deux ça ne sera pas possible. Bon d'accord, il y avait des petits cœurs aussi de mon côté mais non je ne ressent rien pour lui.
En papotant avec le petit roux, j'ai vu une personne tourné autour et me regardé méchamment. Je vais alors la voir
Carly, l'ex nenette de mon mari. Prêt à en découdre avec moi. Mais moi j'en ai rien à faire, je ne veux pas me battre avec elle.
C'est qu'elle sortirais les griffes la poupée mais moi aussi, je ne me laisse pas faire. Alors oui j'ai piqué son homme mais il est venu vers moi aussi.
Et c'est là que ça dégénère en insulte...
Carly : Espèce de garce, de salope. Vous m'avez piqué mon mari
Non mais et puis quoi encore ? Ils n'étaient pas mariés. Et ils n'avaient pas non plus d'enfant.
Carly : Je vais le reprendre, vous le savez.
Inès : Non mais, ce n'est pas une chose MON MARI !
La petite nenette s'est agacée sur le fait que Sebastian est maintenant mon mari. Ensuite elle a enchaîne sur le fait que je voulais capté l'héritage de Sebastian quand ses parents seront morts. Je ne savais même pas que mon policier de mari était un enfant riche. Et j'en ai rien à faire.
Mais voilà, la perspective de voir Carly récupérer mon amour et la révélation sur sa famille me fit vomir.
Tandis que je m'essuyais la bouche, je réfléchissais. Non Carly ne peut pas me piquer Seb, il m'aime sinon il n'aurait jamais accepté de vivre dans ces conditions puisqu'il est riche.
Je me remet droite. La petite pimbêche toujours à la même place, elle va voir ce qu'elle va voir.
C'est alors que je décide de lui faire peur, et ma ruse a marché. La petite minette a quand même bien flippé, à en faire pratiquement une crise cardiaque.
Non non, je ne ris pas du malheur des autres seulement d'une personne.
3 commentaires -
Après cet épisode avec cette Carly, j'avais faim sauf que j'étais bien loin de la maison. Alors j'ai été dans une des maisons proche du centre.
Ouf pas de coeur, manquerais plus que lui aussi en est plein les yeux.
Je suis passée devant Madame, mécontente. Elle répétait à tout va que son mari devait avoir encore amené une de ses maîtresse. Non merci Madame, je suis marié, heureuse. Puis son mari il est moche.
La petite dame pas contente que je me serve dans sa cuisine, criait à son mari que sa maîtresse devait dégager. Pour quelle genre de personne elle me prend ?
Quand elle s'est mise à me dire que la police allait arrivé. J'ai décidé de partir de chez elle. Finalement la maison ce n'est pas si loin.
C'est donc direction la maison que je me retrouve.
Mais une fois rentré à la maison, un horrible mal de ventre me tord.
Je n'ai pourtant pas repensé à Carly et à son histoire de récupérer mon amour.
Mon amour, parlons en. M'ayant vu mal en point décida de me faire le repas. Non mais quel amour, je vous jure
Mais voilà, mon amour n'est pas si doué. Par contre pour mettre le feu, il l'est beaucoup.
Donc me voilà, crevant de faim et préparant le repas. Je ne vais pas laisser amour le préparer, le feu une fois mais pas deux.
Amour il est partit nettoyé mon vomis dans la cuvette des chiottes.
Après mon petit repas, je décide qu'il est temps d'aller me repos. A force de vomir, je fatigue pas mal.
Amour, lui, s'est enfin installé à table.
Puis il vient dans notre lit pour enfin se blottir contre moi. Amour c'est mon petit radiateur.
Mais voilà, pendant la nuit, encore une douleur qui me tord le ventre.
Et oui, direction les toilettes pour ... vous savez bien.
Je me retrouve une fois de plus, accroupie devant cette cuvette.. Demain j'appelle un médecin.
Puis je repart me coucher auprès de mon amour qui lui n'a rien entendu.
Une bonne nuit de sommeil m'aidera sûrement.
2 commentaires -
Dans la nuit, une petite musique retentissait. N'ayant jamais eu cette expérience, je savais néanmoins ce à quoi c'était dû.
Il fallait alors que je l'annonce à mon amour. Comment allait-il réagir ? Tout allait si vite entre nous.
Je me suis lancé alors pour lui annoncé. Il m'a regardé, l'air assez perplexe.
Mais mon courage fut vite emporté par mes nausées. Amour derrière la porte toqué si fort que j'ai eu peur.
Je suis sortie de la salle de bain, les nausées ayant emporté mon courage, je me suis allongé sur mon lit. Une bonne sieste m'aidera.
Amour était dans la salle de bain à mon réveil. Tant pis c'est dans cette pièce que je lui annoncerais.
Mais il était content Amour.
Seulement voilà, Amour ne s'occupait pas vraiment de moi pendant la grossesse. Il passait du temps sur l'ordi.
Et j'ai surpris à plusieurs reprises des coups de téléphone rapide. Regretterait-il déjà notre vie ?
Malgré la grossesse, je continuait à faire à manger. Je préfère ça à un feu.
Le temps passe, le bébé pousse. Je ne souhaite pas savoir le sexe
Parfois il m'arrivait de rater le repas, de le faire trop épicé
Déjà qu'il ne s'intéressait pas à la grossesse, Amour me lançait de vils regards de temps en temps.
Alors quand c'était comme ça, je m’éclipsait. Sinon je manquerais de m'en prendre à lui.
Et dans ces jours-là, il partait au boulot sans un au revoir.
Pour rejoindre sa collègue incroyablement belle.
Un jour, je lui ai proposé d'aller profiter du festival en ville à la sortie du boulot
On en a profité pour une petite photo souvenir.
Puis je passais mon temps à lire. Je reçoit les livres du club de lecture.
En continuant de nourrir la petite famille, bientôt agrandie.
Je ne supportait plus de manger avec Seb. Sa froideur du moment me tuait à petit feu, je tenait grâce à mon bébé en moi.
Il préférait toujours l'ordi.
A la fin de ma grossesse, j'allait dormir seule.
Mais une nuit, la douleur me tira de mon sommeil. Mon cri réveilla mon amour, si je puis l'appeler toujours ainsi.
Mais ça me faisait tellement mal, j'avais peur qu'il arrive un truc à mon bébé.
Je suis malheureusement partie seule à la maternité.
3 commentaires
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires